mercredi 7 mai 2008
Dans mon mouchoir
Et mon mucus verdâtre
aux accents noirs
ne serait que le reflet
de la pourriture de mon âme
sans âtre
un espoir déjà mort
qui se consume
dans les vicissitudes
d’un environnement
agonisant
par les cheminées
des usines brûleuses d’hommes
Mucus d’un mort pourtant vivant
qui se borne à les franchir
en restant. Ici. Gît.
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2 commentaires:
Jolis mots, et des impacts - c'est bien de voir que tu suis le fil :) on est plus trés loin !
On rigole quand ? On apprecie le fil à quelle heure du temps ? parce que là il lui manque le dé à coudre;-))))
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