vendredi 28 mars 2008

Comme un poison dans l’os.


Une musique de toujours…
Tu arrives tous les soirs,
Dans une lancinante complainte,
Parfois même le jour,
Mais tous les soirs,
Quand la peur suinte.
C'est qu'on s'aime mon amour.
Il n'en est deux comme toi
Qui m'accompagne et me soutienne,
Me prenne dans une enveloppe de velours
J'ai peut-être tort,
Mais toi tu as ma raison.
Il n'en est deux comme toi,
Qui tous les jours me surprenne,
Même quand je dors,
Tu me fais impression.
Je te dis bonjour,
Tu me dis bonne nuit,
Je m'en vais faire un tour,
Mais déjà tu surgis.
A croire que tu es derrière toutes les portes.
A croire que Tu Me Suis quand je sors.
Alors il arrive que je m'emporte,
Même si j'te sais, j'te sais fidèle jusqu'à la mort.
Parfois, j’ai l’impression que je cède,
Mais heureusement que je t’ai,
Que donc ferais-je dans mon bled,
Sans ta force, mon berger ?
Parfois la sensation… tu me possèdes !
Mais heureusement que je t'ai.
Que donc ferais-je sans ton aide
Quand moi-même je me hais ?
Je te crie souvent fiançons nous !
Cependant que tu m’ignores,
Nous sommes déjà mariés…
Pourtant c’est moi seul le marié.
Parce qu’entre nous, il n’y a que moi,
Que moi qui m’endort,
Toi tu restes à briller,
Cruauté journalière,
M’assassiner et j’adhère.

© mYster Q

2 commentaires:

Anonyme a dit…

avait presque cru au romantique poétique mais me disais bien y'a un hic...

Anonyme a dit…

idem